• Ce soir on se retrouve, comme promis, sur un nouveau billet d'analyse. Et, aujourd'hui, je vais vous parler d'u coup de cœur que j'ai envie de lire depuis sa sortie en librairie (mais je n'avais jamais eu le temps de le faire jusqu'à présent) : Starters, de Lissa Price.

     

     

     

    Comme d'habitude, quelques informations :

     

    Nom du livre : Starters

    Auteur : Lissa Price

    Maison d'édition : Robert Laffont

    Année de publication : 2012

    Nombre de pages : 449

     

     

    Résumé : 

    "VOUS RÊVEZ D'UNE NOUVELLE JEUNESSE ?

    DEVENEZ QUELQU'UN D'AUTRE

     

    Règles s'appliquant à la clientèle de Prime Destinations : 

     

    1 -> N'oubliez pas que le corps dont vous êtes locataire est celui d'une jeune personne

    2 -> Il vous est strictement interdit de le modifier ou de le blesser

    3 ->  Toute activité illicite entraînera l'annulation de votre contrat

     

    LE CORPS QUE VOUS AVEZ LOUÉ NOUS APPARTIENT"

     

    Beau début en perspective. Ce livre nous plonge donc dans une ville des USA (Los Angeles pour être précise). Il ne reste plus que deux catégories de personnes dans le pays : les enfants/adolescents nommés les Starters et les personnes âgées (vraiment très âgées) qu'on appelle les Enders.

     

    Grâce aux recherches sur le bien être et sur la longévité, les humains peuvent désormais vivre jusqu'à près de 250 ans. Ce qui fait des Enders des personnes vraiment très âgées, et qui possèdent toute la richesse du pays qui plus est. Les Starters quant à eux, sont considérés comme des hors la loi : violents, dormant dans des squats ou sous les pont, le service de sécurité national, Les Marshals, ont la mission de les traquer et de les enfermés dans des instituts spécialisés, des instituts psychiatriques.

     

    Les seuls enfants qui ne sont pas en danger : les enfants représentés par des Enders, généralement issus de la moyenne ou haute société.

     

    L'héroïne de cette histoire se nomme Calli, elle a seize ans et est donc une Starter. Elle vit de squats en squats avec son jeune frère, Tyler, âgé de sept ans et son ami, Michael. Avant la grande guerre entre les états du Pacifique et les USA qui a causé la mort de la plupart des adultes entre 20 ans et 60 ans, Tyler a été diagnostiqué déficient pulmonaire. Ses chances de survie : 50%. Aussi Calli fait tout ce qu'elle peut pour donner une vie agréable à son petit frère, mais le manque de nourriture, de chauffage ou même de soins rendent son frère malade jours après jours.

     

    Elle décide donc de faire une chose insensée : louer son corps à un Ender. Une entreprise, La Prime Destinations, offre aux Enders les plus fortunés un système de location : ils louent un corps plus jeune pour profiter de nouveau de la vie. Calli accepte, dans le seul but de sauver son frère. Elle passe avec succès deux locations avant que la troisième ne soit décidée pour un mois complet.

     

    Prise en étau entre l'argent qu'elle pourrait recevoir et la peine de voir son frère malade, Calli accepte tout de même. Mais il y a un soucis dans cette location : l'Ender qui l'a loué avait autre chose en tête que de revivre ses folles année d'adolescente pendant un mois.

     

    Calli, entraînée par sa locataire de plus de 150 ans, vont mettre à jour un complot énorme à l'échelle d'un pays entier : Prime Destination voudrait ne plus loué mais faire accéder les Enders à la propriété totale des corps des Starters. Ce qui reviendrait à asservir les enfants et les tuer grâce à ce droit à la propriété des corps.

     

     

    Dystopie et à la fois thriller, l'auteure nous décrit ici ce monde post-apocalyptique où les plus vieilles personnes de la société veulent avoir la main mise sur les plus jeunes. D'un point de vue purement technique, certains auteurs et chroniqueurs comparent ce livre avec les Hunger Games. Cependant, de mon point de vue, je préfère le comparer aux Âmes Vagabondes de Stephenie Meyer. Certes, il y a la victoire d'un groupe de la population qui était opprimé, mais il n'y a pas de grands combats.

    La passion morbide que les Enders vouent aux corps des Starters (certains s'occupent mieux de leur voiture que de leur "location") se retrouve avec la passion morbide que les gens de la capitale ont pour le spectacle des Hunger Games. Mais je trouve que cet échange de corps et la visée que veut donner le livre correspond plus aux Âmes Vagabondes tout de même (pour ceux qui ne l'ont pas lu, je ferais une analyse dans quelques temps).

     

     

    Ce roman m'a en définitive beaucoup plu. Comme je l'ai dit plus haut c'était une découverte pour moi car cela faisait longtemps que je lorgnais dessus en bibliothèque et en librairie mais je n'avais jamais le temps de m'y mettre. Et maintenant c'est chose faite ! Sachez que la lecture est très aérée, il est très facile à lire je l'ai lu cet après-midi en cinq heure de temps ! 

     

    Mais ce roman ne s'arrête pas à la fin : le "grand vilain" de l'histoire a réussit à s'échapper et, grâce à la puce implantée dans le crâne de Calli pour réaliser les locations, il continue de la torturée à distance. Sans parler du fait qu'il arrive à prendre plusieurs visages... Intriguant ! Il faudra attendre que je puisse réserver le second et dernier titre de la saga, qui se nomme Enders, pour savoir qui est ce méchant appelé "Le Vieux".

     

    En tout cas j'espère que ça vous donnera envie de lire. Je ferais d'autres analyse, et on m'a déjà donné un livre à lire. Et je remercie beaucoup Marie Grare pour m'avoir conseiller le livre Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur que je vais réserver en bibliothèque le plus rapidement possible.

    Qu'avez-vous pensé de cette série ? Je vous laisse la parole et vous souhaite une agréable soirée.


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  • Résumé :

    "La jeune Violet Lasting, formée pour devenir mère porteuse pour la royauté, intègre le Joyau après avoir été achetée par la duchesse du Lac. Elle découvre la brutalité de la vie des habitants du Joyau et tombe amoureuse du garçon, loué par la duchesse pour servir de compagnon à sa nièce."

     

     

    Mon Avis : 

    Ce roman publié aux éditions Bragelonne, nous retrace la vie de Violet, une jeune femme issue des quartiers pauvres de la dernière ville civilisée, qui voit son destin et sa vie changer lorsqu’elle est choisie pour devenir une mère porteuse.

    Mais “choisie” n’est pas vraiment le terme le plus adéquat, plutôt achetée comme mère porteuse. Car dans cette société, où la royauté à tous les pouvoirs, les femmes de l’aristocratie ne peuvent plus mettre au monde des enfants viables. On ignore la raison, mais seules les filles issues des classes ouvrières, comme Violet, peuvent encore porter des enfants et ne pas les voir mourir lors de l’accouchement.

    Le roman commence donc alors que la fameuse Vente aux Enchères approche à grands pas. Violet, qui n'a pas vu sa famille depuis quatre, doit lui dire définitivement au revoir. La voilà partie pour la capitale où elle sera vendue sous le numéro de lot 197 à une femme influente de l’aristocratie, la Duchesse du Lac.

    Le Joyau est le cœur de la ville, le centre de l’aristocratie et du pouvoir. Violet se rend alors compte que, pour survivre dans ce monde où les mères porteuses ne sont que des trophées et des ventres, les alliances sont parfois le seul moyen de s’en sortir, de conserver sa liberté et de vivre pleinement sa vie.

     

    Pour avoir lu une saga de la même édition et collection, cette série commence très fort, malgré les nombreuses références et thèmes abordés dans la série de La Sélection, de Kiera Cass. On y retrouve la jeune fille séparée de ses parents, contrainte d’entrer dans le monde de la haute noblesse et se retrouve au centre des manigances de l’aristocratie. Cependant, je dois avouer que je ne me lasse pas de ce genre de lectures : elles sont rafraîchissantes et si bien décrites, qu’on à l’impression de se retrouver à la soirée donnée en l’honneur de la Nuit la Plus Longue par l’Exéteur lui-même !

    Ce lire est somme toute très bon, malgré le fait qu’il ressemble beaucoup à cette autre série. La couverture est très travaillée. Les tenues sont très importantes et on retrouve beaucoup de références à l’art (notamment dans le palais de la Duchesse du Lac).

    Parlons des personnages : Violet est l’héroïne de ce roman : elle est le personnage principal, elle raconte son histoire à la première personne et le fait qu’elle veuille obtenir de l’aide pour s’enfuir du Joyau n’est pas clair au début. On sent que son départ accélérerait les choses, surtout que beaucoup de familles proches de la royauté aimeraient que le système change, notamment en ce qui concerne la Vente aux Enchères.

    Lorsque j’ai lu ce terme, je dois avouer que j’étais très mal à l’aise. De même que le comportement de certains personnages, comme la comtesse, qui se sert de Violet comme d’un jouet : insémination sans consentement, aucune considération pour la personne même de sa mère porteuse, le fait que les mères porteuses ne doivent jamais dévoiler leur prénom et se font seulement appeler “la mère porteuse de telle duchesse”... Tout cela m’a écœurée au début, mais c’est bien là le but de l’histoire : nous montrer que sans nos libertés, nous ne serions qu’un numéro et, pour les plus malchanceuses, un ventre qui permettrait de porter les enfants d’autrui.

    Ce livre est une réflexion sur le rôle de la femme dans la société. Ainsi les aristocrates, qui ne peuvent avoir d’enfant, ont la charge d’organiser les Ventes aux Enchères qui, selon les dires des hommes, “sont un des problèmes qui doivent être gérés par des femmes car ils les touchent particulièrement”. Les hommes sont donc, pour ainsi dire, quasiment absents du premier tome mis à part quelques personnages énigmatiques (notamment le fils de la duchesse, dont le rôle reste à définir dans les tomes suivants).

    Cette série se compose de trois livres : Le Joyau, La Rose Blanche et La Clé Noire. On y retrouve ce vocabulaire de la couleur et des pierres précieuses, très présent notamment dans les prénoms des membres de la haute société qui portent tous les noms de différentes pierres (Garnet, Carmélian, Sapphire, etc...). De même que le prénom de l’héroïne, Violet, lui vient directement de la couleur de ses pupilles, un violet qui attire et qui intrigue.

    Et que serait ce roman mêlant intrigues, conflits, empoisonnement et amour s’il n’y avait pas un peu de magie et de mystères : les mères porteuses sont désignées grâce à leurs talents et grâce à d’impressionnants pouvoirs nommés les Augures, dont l’utilisation est pratique pour porter un enfant mais dont le but réel et l’origine échappe encore aux scientifiques.

    Un roman jeunesse donc mêlant intrigues, faux-semblants, alliances, romance et courage. Car il en faut dans ce monde où sa personnalité disparaît lorsqu’un commissaire priseur adjuge un lot vendu à la haute société.

     

    Je vous invite donc, si vous en avez envie, à lire ce premier tome qui, même s’il ne vous transcende pas, vous permettra de vous éloigner de vos quotidiens avec les nombreuses tenues dont il fait la promotion (c’est mon côté fille qui ressort).

     


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  • Résumé : 

    "Logan McEwan mène une existence banale jusqu'au jour où il se retrouve subitement propulsé dans plusieurs de ses vies antérieures. Il prend alors contact avec Rain, un puissant médium, qui l'aide à remonter le fil de son histoire jusqu'à sa toute première incarnation."

     

    Mon Avis : 

    Anne Robillard, auteure francophone, est connue pour avoir écrit et publié chez Michel Lafont la série des Chevalier d’Emeraude, Les Héritiers d’Enkiev ou encore les Cordes de Crystal. Pour tout vous dire, je n’ai jamais lu d’elle que le premier tome des Héritiers et les douze des Chevaliers. J’ai parcouru vaguement les premiers chapitres des Cordes de Crystal et, honnêtement, je regrette de m’être plongée dans la lecture du Retour de l’Oiseau Tonnerre.

    Arrive le gros problème : Logan, qui ne croit en rien à part au dur labeur d’un bon travail, ressort de cet entretien totalement convaincu qu’il possède une âme qui a vécu plusieurs vies. Ces visions sont en réalité des flash back de ses vies antérieures que de mystérieux “êtres de lumière” tentent de lui rappeler afin d’accomplir sa destinée. Et le pire c’est qu’il y croit !

    Tout cela ne tient pas debout : suite à une série d’achats plutôt mystiques que décoratif, son “ange gardien” (appelons le comme ça car on ne connaît pas vraiment son rôle à part guider Logan) va lui faire découvrir tous les soirs une partie de ses vies antérieures. Et à chaque fois, Logan en ressort sûr d’une chose : son âme est née pour sauver l’humanité.

     

    Avec les Chevalier d’émeraude, le contexte magique et les événements surnaturels étaient compréhensibles et au rendez-vous (normal : le roman se déroulait dans un monde différent du nôtre). Mais dans ce roman l’immersion dans les vies antérieures (l’Egypte antique, la Mésopotamie ancienne et même l’Atlantide) font que ce récit, pour ma part, ça n’a ni queue ni tête. Mais ce qui m’a dérangée le plus, c’est sans doute le revirement de situation : tout ça parce qu’une voyante te dit que ces êtres de lumière sont là pour te montrer la voie et que tu es né pour sauvé l’humanité il faut forcément y croire ?

    Je n’ai donc pas apprécié ce livre, et pourtant j’ai essayé. Mais honnêtement, je me suis lassée dès les premiers chapitres et je n’ai pas réussi à terminer le livre. J’ai quand même lu les derniers chapitres (car toutes les visions des vies antérieures sont axées sur les mêmes problèmes : il souhaite unifier les hommes, en ressort un bénéfice mais Logan finit par mourir). Et il se termine assez bêtement, sans connaître réellement la véritable tâche de Logan, son but ou même une idée de comment va terminer la série.

    Fort heureusement, cette série n’aura pas la même ampleur que les Chevaliers ou que les Héritiers, il n’est édité pour le moment qu’en trois tomes (le dernier paru en 2017). Mais je ne lirai pas les autres tomes, n’ayant pas réussi à terminer le premier.

     

    J'adore tout de même Anne Robillard : c'est une auteure assez connue dans le monde de la Fantasy et elle est francophone, ce qui est assez rare dans ce genre de fiction. J'aime aussi l’originalité de ses scripts, même si certains faits ne sont pas assez explicités ou, pour ma part, bâclés.

     


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  • Résumé : 

     

    "Ophélie, qui peut lire le passé des objets et traverser les miroirs, vit tranquillement sur l'arche d'Anima. Mais quand elle est fiancée de force à Thorn, du clan des Dragons, elle est obligée de le suivre à la Citacielle. Elle va être mêlée sans le savoir à un terrible complot."

     

    Mon avis : 

     

    Les Fiancés de l’Hiver, de Christelle Dabos, est un roman de fantasy et une dystopie. On y suit la vie d’Ophélie, une jeune Animiste responsable d’un musée. Anima, sa ville natale, est une arche, une île au milieu des nuages. Toutes les personnes vivant sur Anima sont des cousins éloignés, ils descendent tous d’une seule et même personne que l’on nomme un Esprit de Famille, qui s'appelle Artémis.

    Ophélie est une jeune Animiste, ce qui signifie qu’elle possède des pouvoirs surnaturels en lien avec le sens du toucher. Dans son cas, elle parvient à lire l’histoire des objets qu’elle touche avec ses mains. Un jour, alors qu’elle venait de repousser un énième mariage avec l’un de ses cousins, elle apprend que les Doyennes de sa famille lui ont organisé un mariage avec un membre extérieur de la famille. Alors qu’elle se fait à l’idée de devoir épouser cet homme, et potentiellement lui rendre la vie impossible, elle se retrouve face à un géant : son fiancé fait partie de l’une des grandes familles du Pôle. 

    Taciturne, limite agressif, le fiancé d’Ophélie, Thorn, lui cache des choses. Et lorsqu’Ophélie arrive à la Citacielle, la capitale du Pôle, les choses vont s’envenimer : alors que sur Anima tout le monde s’entend à la perfection, les familles sur la Citacielle se livrent une guerre sans mercis pour obtenir les faveur de leur Esprit de Famille, Farouk.

     

    En lisant ce livre la première fois, je l’avais lâché. Pas assez d’action, je passais certains passages car pas de dialogues et donc j’étais perdue. Mais quand je l’ai repris, il y a deux jours, j’ai décidé de ne louper aucun mot, aucune phrase. Et je dois dire que je ne suis pas déçue.

    Certes, cette histoire est un peu compliquée, surtout quand on la lit à la fin de la journée ou dans un train et qu’on a des distractions. Mais je dois avouer que cette histoire est assez prenante.

    Ophélie et Thorn n’ont vraiment rien en commun, on remarque tout de suite que leur couple ne durera pas et que, même s’ils se mariaient, l’un tenterait de rendre la vie de l’autre impossible et vice versa. Thorn ne semble pas apprécier Ophélie, qui est trop discrète et trop fluette. Mais toutes les remontrances et les sous-entendus de Thorn vont donner à Ophélie une bonne raison de faire ses preuves et de prendre le dessus sur la situation qu’on lui a imposé.

    Ophélie, en plus d’être une liseuse émérite, est aussi une passe-miroir, une personne pouvant se déplacer d’un endroit à l’autre en passant au travers des miroirs. Une capacité très pratique qui lui permettra de sortir son épingle du jeu. Cependant, trop de mensonges poussent Ophélie dans ses retranchements : le but du mariage est, en grande partie, de pouvoir procéder à un échange de pouvoirs entre les deux époux. Ophélie hériterait alors du pouvoir de Thorn, les Griffes du Dragon, et Thorn posséderait aussi les pouvoirs de liseur de sa femme.

    Ophélie, qui se laisse d’habitude porter par la situation, devra prendre son courage à deux mains et vivre sa propre vie. Une saga que je compte continuer. Ophélie est attachante, naïve mais possède une grande force de caractère. Je me suis particulièrement attachée à Thorn (eh oui, étonnant !). Même s’il ne porte pas Ophélie dans son cœur, ou plutôt son mariage avec elle, il tente tout de même de la protéger contre tous ceux qui voudraient lui nuire. Serait-ce de l’amour ? De la manipulation ? Aux vues de son enfance, j’ai du mal à croire qu’il soit aussi brutal et manipulateur qu’Ophélie le pense. Par contre, je ne supporte pas Bérénilde, trop superficielle, individualiste. Certes elle a vécu de terrible choses dans sa vie, mais sa façon de minauder devant Farouk, l’Esprit de Famille, me répugne. La façon dont elle torture Ophélie me répugne aussi, mais cela a permis à Ophélie de se reprendre en main, de faire ses propres choix.

     


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  • Résumé : 

     

    "Twylla, 17 ans, est une élue. Promise au prince, elle vit isolée dans le château de Lorture à cause de son don. Nourrie chaque mois d'un poison mortel contre lequel elle est immunisée, elle a le pouvoir d'exécuter les traîtres du royaume d'un simple contact de la main. Bientôt Lief, un nouveau garde particulièrement charmant, se rapproche d'elle."

     

    Mon avis : 

     

    L’Héroïne, Twylla, est Daunen Incarnée, la réincarnation de la fille du Dieu du Soleil et de la Déesse de la Nuit. Elle est l’espoir du Royaume mais aussi le cauchemar des criminels en prison : à chaque nouvelle lune, le rite de la Révélation prouve au peuple qu’elle est bien l’élue des Dieu. Pour cela, elle boit un poison mortel qui ne la tue pas et lorsqu’elle touche la peau des traîtres ces derniers meurent empoisonnés.

    Cette jeune femme a été arrachée à sa famille par la reine, qui la garde sous sa protection. Mais elle ne se rendait pas compte des machinations de la cour. Un jeune garde, qui entre au service de Twylla, va lui ouvrir les yeux sur sa condition. Mais le triangle amoureux dans lequel Twylla se retrouve plongée, car promise au prince de par son statut de Daunen Incarnée, va accélérer les choses dans les machinations de la Reine.

     

    Cette histoire de réincarnations et de manigances m’a vraiment plu, même si j’ai l’impression de lire que ça. Les manigances d’une cour, d’une Reine cinglée prête à tout pour perpétuer sa lignée royale au sang pur.

     


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